L'école pour apprendre des perspectives
Cette semaine, nous entrons dans le vif des sujets : mathématiques, français, sciences... C'est l'occasion de proposer un survol général des certains éléments, comme l'apprentissage de l'orthographe.
Lorsqu'on pense école, on pense souvent apprentissage techniques, étude de règles et application de celles-ci. C'est ce que l'on fait la plupart du temps mais cette semaine, nous avons pris un peu de recul et regardé le pourquoi et le comment des choses, avant de nous lancer dans notre première dictée flash.
L'orthographe française est bien particulière et plus complexe que d'autres (comme le turc par exemple, qui s'écrit comme il se prononce). Cela en fait peut-être la beauté de la langue française mais, en ce qui concerne nos chères têtes blondes et brunes, cela donne surtout du fil à retordre... mais ce n'est pas pour rien. Apprendre l'orthographe française leur permet de mettre en place des mécanismes réfléchis et, surtout, d'apprendre à taire leurs premiers réflexes :
- Je peux deviner comment s'écrivent les mots.
- Je peux écrire comme je pense, ce n'est pas grave.
- Je n'ai pas besoin d'outils, le maître corrigera.
- Je crois bien que cela s'écrit comme de cette manière.
- ... et tant d'autres.
Ainsi, en préambule de nos dictées de l'année, nous avons revu les 2 fondements de l'apprentissage de l'orthographe française :
- Il n'y a qu'une seule difficulté en français : les lettres qu'on écrit mais qu'on n'entend pas.
- L’orthographe est un code et ne se devine pas.


Et puis, nous sommes passés à la découverte des mots de la première dictée flash.
Depuis l'an dernier, je me forme auprès de Pédagovie concernant les apports des neurosciences pour l'enseignement de l'orthographe et la grammaire. Il y a des chances que je revienne vers vous avec quelques autres éléments de ce genre, si ça vous dit.
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